Ferndolmetschen – ja, aber…

Das videogestützte Simultandolmetschen hat während der Pandemie einen wahren Boom erlebt. Die Nachfrage nach Videokonferenzen und die Anfragen nach Ferndolmetschen stiegen rapide an. Zeitgleich nahm das Angebot an technologischen Plattformen mit Dolmetschfunktion zu. Dolmetscher/-innen mussten sich mit wenig Erfahrungswerten in ein neues Terrain wagen.

Neben Fragen zur technischen Umsetzung kamen auch solche zur Vertraulichkeit und Verwertungsrechten auf. Hauptproblematik ist vonseiten der Dolmetschenden die reibungslose Zusammenarbeit mit dem/der Partner/-in, die sich idealerweise im selben Raum (Ferndolmetsch-Hub) befinden sollte. Nur so und durch technische Unterstützung und einem Testlauf kann gewährleistet werden, dass die Tonübertragung einwandfrei ist und die Dolmetschenden sich voll und ganz auf ihre Arbeit konzentrieren können. Der internationale Verband der Dolmetschenden AIIC empfiehlt daher dringend Kabinen, die den Schallanforderungen der ISO-Norm 2603 (ortsfeste Kabinen) oder 4043 (mobile Kabinen) entsprechen.

Sollte es nicht möglich sein, beide Dolmetschenden eines Teams örtlich zusammenzubringen, muss die Kommunikation über eine spezielle Funktion in der Dolmetschkonsole gewährleistet sein, die möglichst benutzerfreundlich und intuitiv ist, damit die Benutzung nicht zu einer Beeinträchtigung der Konzentration führt.

Man könnte meinen, dass durch die wegfallende Anreise auch ein Stressfaktor wegfalle. Das Gegenteil ist jedoch der Fall, denn die kognitive Belastung erweist sich als weitaus höher als beim klassischen Dolmetschen vor Ort, da Bild und Ton über indirekte Quellen übertragen werden. Die Erfahrung mit verschiedenen Systemen und der intensive Austausch zu bewährten Techniken und sinnvollen Vorkehrungen hat uns inzwischen zu routinierten Ferndolmetscher/-innen gemacht. Gerne gibt das Team von a-traduction.com Tipps zum Ferndolmetschen.

L’interprétation à distance : oui, mais …

L’interprétation simultanée assistée par vidéo a connu un véritable boom pendant la pandémie. La demande de vidéoconférences et les demandes d’interprétation à distance ont augmenté rapidement. Parallèlement, l’offre de plates-formes technologiques dotées d’une fonction d’interprétation était en hausse constante. Les interprètes ont dû s’aventurer sur un nouveau terrain avec peu d’expérience.

Outre les questions relatives à la mise en œuvre technique, d’autres ont surgi concernant la confidentialité et les droits d’exploitation. Du côté des interprètes, le problème principal est la collaboration sans faille avec le/la partenaire, qui devrait idéalement se trouver dans la même pièce (hub d’interprétation à distance). Ce n’est qu’ainsi, et grâce à un soutien technique et à un test, que l’on peut garantir que la transmission du son est impeccable et que les interprètes peuvent se concentrer pleinement sur leur travail. L’Association internationale des interprètes de conférence AIIC recommande donc vivement des cabines répondant aux exigences sonores de la norme ISO 2603 (cabines fixes) ou 4043 (cabines mobiles).

S’il n’est pas possible de réunir localement les deux interprètes d’une équipe, la communication doit être assurée par une fonction spéciale de la console d’interprétation, qui doit être aussi conviviale et intuitive que possible, afin que son utilisation ne nuise pas à la concentration.

On pourrait penser qu’en supprimant les déplacements, on supprime également un facteur de stress. Or, c’est le contraire qui se produit, car la charge cognitive s’avère bien plus élevée que dans le cas d’une interprétation classique sur place, puisque l’image et le son sont transmis par des sources indirectes. L’expérience acquise avec différents systèmes et les échanges intensifs sur les techniques éprouvées et les précautions utiles ont fait de nous des interprètes à distance expérimentés. L’équipe d’a-traduction.com se fera un plaisir de vous donner des conseils sur l’interprétation à distance.